A. Edentation unitaire On vient de vous extraire une dent, que faire ? Plusieurs possibilités s’offrent à vous : 1. L’abstention Vous ne faites rien. Vous restez avec cette édentation. C’est une mauvaise idée! Si vous ne remplacez pas la dent manquante, les dents voisinent risquent de se déplacer, de se « déchausser ». La dent antagoniste va « égrésser» c’est-à-dire qu’elle va chercher à combler l’espace laissé vacant,
La restauration implantaire unitaire (le fait de remplacer une dent dans son intégralité, racine comprise) est composée de 3 éléments : Lorsqu’une restauration implantaire fait appel à ces trois éléments, couronne, pilier et implant, on parle de « couronnes scellées ». Une restauration implantaire sans pilier implantaire s’appelle « couronne vissée ». Dans ce cas la couronne prothétique est directement vissée sur l’implant. Le plus souvent on utilise ce type de
Dans la chirurgie dentaire, il n’y a pas de spécialité en implantologie comme il y en a une en orthodontie par exemple. Les dentistes qui posent des implants ont développé une compétence en se formant dans les universités, dans des sociétés scientifiques ou directement dans la société qui leur fourni leurs implants. Il se peut que votre dentiste ne pose pas lui-même d’implant. Il va alors vous adresser à un
La réponse est non. Il y a des contre-indications médicales et des limitations dû à un volume osseux insuffisant : Contre-indications médicales 1. Age L’âge en lui-même n’est pas une contre-indication si le patient est en bonne santé. Cependant les patients âgés présentent souvent des pathologies qui peuvent contre-indiquer la pose d’implants. On ne posera pas d’implants chez un enfant avant la fin de la croissance osseuse (18 ans) 2.
En tant que patient, il est naturel de vous interroger sur la qualité de vos implants dentaires. Pour en savoir plus sur le sujet, il est nécessaire de s’intéresser aux différentes marques d’implants : il existe 3 groupes de sociétés proposant des systèmes implantaires : Les « leaders » en implantologie Avant de parler de ce groupe, il faut faire un bref rappel historique des débuts de l’implantologie moderne. Le
L’intervention chirurgicale se fait sous anesthésie locale comme n’importe quel soin dentaire. Passé l’inconfort des premières piqûres, l’intervention est absolument indolore. La plupart des patients déclare que l’intervention leur a paru beaucoup moins impressionnante et traumatisante que ce qu’ils n’avaient imaginé. Les suites post-opératoire sont généralement très bonnes et les patients arrêtent souvent les antalgiques prescrits par leur dentiste dès le lendemain de l’intervention.
Cette question appelle deux réponses. Il faut parler du succès chirurgical et de la survie à long terme. Succès chirurgical Après la pose d’un implant on attend 3 mois à la mandibule et 4 mois au maxillaire supérieur avant de pouvoir poser une prothèse sur cet implant. La raison de cette attente est la recherche de « l’ankylose » de l’implant dans l’os, phénomène qu’on appelle l’ostéointegration. Cette « liaison